Mehdi Charef puise dans ses souvenirs d'enfance et peint la fin de la guerre d'Algérie avec justesse et sensibilité.
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Le dernier printemps de la Guerre d'Algérie. Le printemps d'avant l'été de l'Indépendance. Ali, 11 ans, et son meilleur copain Nico regardent leur monde changer et font semblant de croire que Nico ne partira jamais. Jamais ? Mehdi Charef a choisi le titre Cartouches Gauloises en raison de souvenirs et d'effluves liés à son enfance. "Quand j'ai commencé à vendre les journaux dans les bistrots français, tous les soldats fumaient tellement ils étaient stressés. (...) Et puis Gauloises parce que c'est l'histoire de la France, les Gaulois, comme on nous apprenait à l'école... Et les cartouches, c'est aussi les balles qu'on entendait siffler."