Le grand pardon

Alors que se déroule le baptême de son petit-fils, Raymond Bettoun, 50 ans , juif d'Algérie et chef de gang, fait évader le "Sacristain", un criminel notoire qui, sitôt libre, règle son compte à Carreras. Ce dernier disputait à Bettoun le contrôle du Casino de Biarritz. Bettoun peut continuer de régner en maître sur ce paradis du jeu, du rackett et de la prostitution. Mais, dans l'ombre, un autre truand, Pascal Vilars, a juré la perte du clan Bettoun en dressant les Arables contre les Juifs... Le scénario du film, dont l'écriture a duré plus de deux ans, ne compte pas moins de 52 personnages.