Sur les lieux où neuf des siens ont péri, Rithy Panh invoque les morts par les images, les mots, les rites.
Note Allociné
Spectateurs
Spectateurs 3,1 sur cinq
3,1
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Disponibilité (qualités vidéo sous réserve d'éligibilité) :
HD
SD
Continuant à sonder l'histoire d'un génocide qui a fait quelque deux millions de morts, et le deuil impossible que ces quatre années de terreur ont légué aux rescapés, le cinéaste approfondit avec Les tombeaux sans nom une exploration autobiographique entreprise avec L'image manquante, puis Exil. Ce film en forme de méditation bouleverse par la manière dont il tente de capter l'âme d'un pays meurtri, pour offrir au travers des rites, de la nature, de la parole, sinon l'apaisement, au moins l'acceptation de ce qui fut.